[Rp] Première visite

Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/07/2008 Niveau : Niveau: (10/10)

Sa monture mis au trot depuis quelques minutes maintenant, le nain regardait d'un oeil curieux l'édifice que révélait les pales rayons du soleil devant lui.

C'était fou, fou comme chaque nouveau Quartier général de coterie aperçu lui rappelait les rempart de l'ancienne Forteresse de la Jaspe et le plongeait instantanément dans une amère mélancolie.
En ce jour cependant, ce n'était pas le cimetière de son ancienne coterie, mais le domaine de la Confrérie d'Austri que le Tordenn s'apprêtait à visiter.

Descendant de son étalon une fois arrivé devant les portes du bâtiment qui se dressait à présent devant lui, le nain y toqua simplement, attendant une réponse.

L'objet de sa visite était simple : rares étaient les coteries purs avec lesquels Mjoll avait de réelles affinités, et les jours passés en présence des membres de la Confrérie se trouvant à Enurshigal avait suffit au Juge pour qu'il veuille davantage établir des liens avec eux.

Il attendit donc patiemment derrière la porte de l'édifice que quelqu'un vienne lui ouvrir.

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Ne recevant pas de réponse, il toqua une seconde fois, plus fort, puis une troisième.

Le ciel commençait à se couvrir de couleurs bien sombre, et le froid de la nuit ne tarderait pas à se faire plus intense quand toute trace des rayons du soleil aurait disparut de l'horizon des terres de pangée.
Fourrant ses mains dans ses poches après avoir gratifié son cheval d'une caresse, celui-ci commençant à hennir d'impatience, le nain espérait ne pas s'être trompait d'adresse...

Assis derrière son comptoir, le Géant releva la tête de sa choppe. Il lui semblait avoir entendu quelque chose. Ayant un doute, il replongea sa barbe dans la liqueur.
De nouveau, un bruit se fit entendre. Varacorn tenta de se lever, puis s’effondra. Après plusieurs essais, le Géant réussi à marcher et se dirigea vers la porte. Quelqu’un tapait dessus.
S’approchant le plus discrètement possible, il avança et prit la poigné en main. Là, il ouvrit la porte d’un coup et s’écria :

SURPRISE !!!!!!!!!!!!

Ne voyant personne, le Géant fût étonné. Il se gratta la tête, puis au moment de repartir baissa les yeux. Là, il reconnut le nain Mjoll, juge Tordrenn. C’était sa première visite, et Varacorn se dit qu’il s’en souviendrait longtemps. Tant mieux, c’était l’effet voulu. Toujours sous l’effet de la bière, il dit :

Tiens donc, vlà un nain. Y’en a pas beaucoup ici, m’enfin c’est pas grave. Entre donc l’ami, fais comme chez toi. J’pense que t’aime bien les boissons d’hommes, donc si tu veux, suis moi !
Désolé, y’a pas grand monde en ce moment, tout le monde se prélasse, un peu comme l’autre andouille de Sandencre qui s’est barré se faire griller au soleil. Quelle idée…sans bière, j’irais jamais, j’ai bien mieux à faire.
Bon, qu’est ce qui t’amène par ici ? La baston de ces jours derniers ? Pas mal hein, on s’est bien battu j’trouve. Mais c’est po fini, donc demain on y retourne. Là, j’récupère comme tu peux le voir. Si tu veux récupérer un peu toi aussi, demande, et tu seras servi !
Si tu veux, dois y’avoir Fëaelda dans l’coin, j’peux te l’appeler si tu veux lui causer.
M’enfin, je parle je parle, mais reste pas dans l’entré, viens donc il fait chaud ici, et dehors ça va péter ce soir.
Allez allez, fais pas de chichi, entre donc !

Puis le Géant reparti vers son comptoir, tournant le dos au nouveau venu.

La sylvaine était installé dans uns petite chambre à l'étage du bâtiment abritant la taverne en train de lire paisiblement quand elle entendit résonner la voix avinée du géant terreux qui leur servait de chef. Il beuglait de toute la puissance de sa voix d’ivrogne un monumental « surprise!!! » qui la coupa au beau milieu d’une lecture passionnante. Quelque peu intriguée par la cause de ce vagissement inhumain, elle se décidât à poser son livre pour descendre voir de quoi il en retournait.

Elle trouva le géant pesamment accroupi derrière le comptoir qui fouillait les placards en marmonnant tandis qu’un nain se tenait au milieu de la pièce. Après quelques secondes d’hesitation elle reconnut en lui Mjoll, un juge Tordrenn des Plumes célestes qu’elle avait croisé plusieurs fois sur le champs de bataille au cours de la semaine écoulée.
"Bienvenue Mjoll, quelle bonne surprise, votre visite nous honore. Mais je vous en prie, assieyez vous donc. Je vois que Varac’ est un peu long à vous servir, je m’en occupe, que voulez vous boire? dit elle en se dirigeant vers le comptoir.
Ce ne serait pas ça que tu cherche des fois, chef?" Glissât elle en attrapant une bouteille qui traînait au bout du dit comptoir.

Sa remarque eu pour effet de faire se retourner vivement le géant accroupi qui cogna violement du front contre l’entablement du bar et se retrouva assis par terre à contempler betement le plafond.

Le Géant avait beau chercher, il ne trouvait pas la bouteille qu'il avait lâché cinq minute, le temps d'aller ouvrir la porte et faire entrer Mjoll. Puis, il entendit Fëaelda descendre et discuter avec le Tordrenn. Quelques instants plus tard, elle lui demanda :

*Ce ne serait pas ça que tu cherche des fois, chef ?*

Ne réfléchissant plus, aveuglé par l'impatience, Varacorn releva précipitamment la tête, et se cognat contre le comptoir. Le coup l'assomma quelques secondes. Il s'assit et reprit son souffle. Après avoir retrouvé le peu d'esprit qu'il lui restait, le Géant se releva et pris la bouteille en main, ainsi que deux verres. Il posa le tout sur une table, s'assis et y invita le Nain. Fëaelda s'approcha également, et ne voyant pas de verre pour elle, jeta un regard plein de reproche à son chef. Il s'empressa alors de répondre :

Bah quoi, depuis quand les gamins ont le droit à la boisson ? M'enfin, nous dérange pas, et vas te servir un jus de fruit, t'es qu'une petite Elfe, tu peux pas supporter le breuvage de guerrier.

La Sylvaine fit demi-tour, vexée, et le Géant éclata de rire. Il rempli les verres, et enfin, s'adressa à son invité :

Alors, t'en veux ? Assis toi, attend pas. Fais pas gaffe à elle, elle est gentille, mais se prend pour une grande. Hahaha, la jeunesse...

Dis-moi tout, tu viens nous voir pour affaire ou simplement pour nous passer le salut ?

Sans attendre la réponse, Varacorn vida son verre et s'en resservit un aussitôt.

La magicienne s’éloigna pendant que le géant fanfaronnait de sa grosse voix épaissie par l’alcool. Elle se dirigeât vers un placard d’où elle sortit une bouteille de Charmeuse (sa boisson préférée) qu’elle avait volontairement placée dans un recoin innascible aux mains épaisses et peu délicates du géant puis alla s’asseoir avec un verre à quelques tables d‘eux.
Alors que le mage terreux portait son second verre à ses lèvres, elle invoqua un sort de magie Eolim que Sandencre l’avais aidé à perfectionner et projetât sa dague directement contre la grosse chope en verre qui explosa sous l’impact. Le chef de la coterie fixa pendant quelques secondes d’un air ahurit la poigné de la chope qu’il tenait encore dans la main puis il leva lentement les yeux vers l’elfe qui sirotait nonchalamment un verre de liqueur.

Fëaelda!!!! Beugla-t-il de toute la puissance de son énorme voix.

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Le Juge sourit devant le spectacle de la jeune elfe et du géant qui se taquinaient tour à tour. Remarquant cependant que les jeux devenaient de plus en plus dangereux - la choppe de Varacorn venant en effet d'exploser, projetant des gerbes épaisses d'alcool sur ce dernier ainsi que sur lui même, le nain s'empressa de tenter de les calmer tout deux.

- Fëaelda, venez donc partager notre table plutôt que de nous abreuver de boisson à distance. fit-il avec un sourire. J'ai aussi envie de vous voir, dame Elfe, et votre Chef doit être fou pour décliner à sa table la présence et les charmes de la fille de Tammuz que vous êtes.

Puis, se tournant vers Varacorn

Je viens et pour affaire, et pour le plaisir, ami terreux. à vrai dire, je ne connaissais votre coterie que de nom, et ce n'est que depuis le front d'Enurshigal que je peux mettre des visages sur les membres de la Confrérie d'Austri. Or, ces visages m'ont été bien agréables, et comme je connais bien peu de coterie réellement intéressante au sein de la pureté, je tiens à vraiment tisser des liens avec celle que, d'aventure, je rencontre sur ma route et qui ont de la valeur à mes yeux.

Se retournant vers la jeune femme qui avait aimablement proposé de le servir quelque instant plus tôt

Pourrais-je vous prendre un peu de... cidre ?

Hélas, oui, Mjoll était un drôle de nain, et l'alcool n'avait jamais vraiment été sa tasse de thé ; ce qui n'arrangeait en rien la réputation qu'on avait fait de lui à cause de son visage imberbe malgré son âge adulte et de sa taille - plus haute que la moyenne des nains sans atteindre pour autant celle des hommes faits - venant contredire en tout point ses origines nanesques..
Enfin, il n'y pouvait rien si son père avait été un fils d'Anu…

Sa chope explosa sous son gros nez. Ni une ni deux, le Géant se leva et voulu punir la jeune impétueuse. Voyant que les choses pouvaient tourner mal entre un Géant ivre et en colère, et une jeune Elfe sans peur, Mjoll pris la parole. Varacorn se rasseya, et grogna dans sa barbe à présent couverte de bière.
Ce qui surpris le Géant, c’est que le Tordrenn voulu du cidre…ne pensant plus à répondre à ce pourquoi le Nain venait les voir, il s’empressa de signaler aux autres sont avis, ne faisant pas attention à l’Elfe qui prenait place :

Du cidre ? M’enfin, pourquoi une telle boisson ? Je ne dis pas que c’est mauvais, mais tout de même, ça vaut pas une bière, et j’ai jamais vue de Nain en refuser une…Êtes vous vraiment un Nain maître Mjoll ? Je ne met pas en doute votre parole, simplement, permettez moi d’en référer à Thror, histoire qu’on rigole un peu en buvant une chopine…enfin, histoire de voir sa réaction quoi…Ne le prenez pas mal surtout, je ne voudrais pas être insultant envers un hôte, mais je n’ai jamais compris ceux qui n’aime pas cette délicieuse boisson.

Ayant déjà oublié l’incident, Varacorn se resservi une chope puis continua de parler au Nain :

Nous disions donc, vous venez simplement nous voir car vous avez apprécié notre compagnie sur le front ? Sachez que j’en suis ravis, c’est pas tout les jours que j’envoie mes hommes se battre sur un tel front, mais là, je dois avouer que j’ai beaucoup rit, si bien sûr on peux rire de tout…
C’est donc ravis que je vous accueil parmi nous, considérez vous comme un ami proche de l’Austri ! Votre présence fût elle aussi fortement appréciée, je vous rassure. Bref, servez vous, n’hésitez pas, faites comme chez vous !

Le Géant but de nouveau, et reposa son verre, vide.

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- Pour le cidre... Hum, c'est que, disons... Je tiens assez mal l'alcool, et je préfère le cidre de gout, de toute manière...
Quant à si je suis un vrai nain, ma foi oui, un demi seulement pour certain mais ça c'est une autre histoire...
Thror enfin est au courant, il me semble avoir déjà bu une chopine avec lui sur le cercle du tonnerre, mais si la chose s'est fait elle doit dater et je ne m'en souviens plus trop.
Enfin bref...

Le nain marqua une petite pause, les joues un peu empourpré. Il aurait bien dissimuler son embarras en avalant une gorgée, mais la jeune Elfe devait être tout aussi étonné que son compagnon par le choix de sa boisson car elle ne l'avait pas encore servit.
Il fini donc par reprendre après un court silence... :

Ravie de constater la chaleur de votre accueil en tout cas. Avez vous quelque nouvelles du front ? Je dois avouer m'y être un peu perdu. Ne sachant s'il fallait défendre Eridu ou Enurshigal, mon compagnon Tagor est retourné dans l'ancienne cité Orichalque quand je suis moi même aller suivre les troupes sur Eridu. Je n'y vois plus aucun impurs cependant... êtes vous au courant des récentes directives ?

Tiens donc, Mjoll n'était qu'à moitié nain. Aucun problème en soit, cela ne changeait rien à sa personnalité et le Géant l'appréciait toujours au même titre ! Puis, le juge dévia la conversation sur les combats actuels :

Et bien non, je n'en sais pas plus. Je n'ai pas vue Thror depuis un bon moment, et je ne sais que faire. Grandkhan nous a demandé de retourner à Enu, donc nous y retournons. Mais j'ai put observer les lieux, et seulement quelques Orichalques isolés se promènent dans les parages, vraiment rien d'alarmant comme l'affirmé Spirit...

Bref, j'ai demandé aux miens de suivre Thror, et comme j’étais le plus avancé, je reviens de plus loin. Toutefois, mon fils continue sa route avec Arl, et ils ont ratissé Eridu en à peine trois jours, plus rien à craindre donc de ce côté là.

Une fois Enushuirgal sécurisée, je parlerais avec Thror pour décider du prochain objectif de nos coteries. Si vous ne savez que faire et désirez nous suivre, ce sera un plaisir de combattre à nouveau à vos côtés !

Puis, voyant que la jeune Elfe ne faisait rien, Varacorn pris une de ses chopes vide et y versa un peu de cidre, arrachant la bouteille à une Fëaelda la bouche grande ouverte.

L’elfe était allé cherché une bouteille de cidre dans le placard situé deriere le bar et lorsqu’elle s’approcha de la table, le géant et le nain parlaient de la campagne en cours. Elle s’arrêtât près de Varacorn qui évoquait de sa voix grave les récents événements survenus sur le front. En l’écoutant elle se remis à penser à tout ce qu’elle avait vécut ces derniers jours.
Son frère et elle avaient rejoint Enushirgal pour leur première bataille quelques semaines plus tôt. Elle avait eu peur bien sure mais elle avait aussi ressentit l’excitation du combat, l’adrénaline… Son jeune frère avait pour la première fois croisé le fer avec un impur. Il avait put engager quelques passes avec un mage aqueux et avait réussit à briser sa garde et affaiblir sa défense pour permettre aux guerriers des différentes coteries pures présentes de l’abattre.
Elle sursautât lorsque le géant terreux lui prit la bouteille de cidre des mains. Elle s’empourpra en réalisant qu’elle se tenait là, perdu dans ses pensée depuis un certain temps déjà, elle s’assit alors précipitamment près du nain.
Elle aurait voulut lui renouveler les paroles de bienvenue prononcées par Varacon plus tôt mais le sujet n’était plus d’actualité et comme elle ne savait pas trop ce qu’une novice comme elle pouvait bien dire au sujet des décisions tactiques prises sur le front elle préféra se taire et écouter les deux vétérans en sirotant son verre. Il y avait toujours beaucoup à apprendre à écouter ses aînés.

[hrp] j'avais preparé une toute autre reponse hier soir mais le site ne marchait pas donc je me suis fait devancée, desolé. merci de m'avoir fait passer pour une pomme. lol [/hrp]

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[hrp] Te faire passer pour une pomme ? Oula, désolé, ce n'était vraiment pas mon intention ( si le message s'adresse à moi également du moins ) , si tu l'as prit ainsi je m'en excuse Fëaelda ! [/hrp]

Pas plus avancé que moi donc... Concernant la suite, il y fort à parier que ce soit une montée sur Trudheim. En effet, tous les Tordenns y sont appelés. Etant sensé m'y faire ordonner Prêtre de Thor, je dois m'y rendre au plus vite, et Thror s'est déjà engagé il me semble à rejoindre la ville dès qu'il pourra également. Ceci étant dit, rien n'affirme qu'il va emmener toute sa coterie avec lui pour cela, mais lui, il a de grande chance de s'y rendre, et moi aussi. ça vous irez, vous, un voyage vers Trudheim, la capitale de Thor et ses enfants ?

Il les avaient regardé tout les deux, le géant comme l'elfe tandis qu'il parlait, et la question était autant posé à Varacorn, en tant que chef de l'Austri, qu'à Feaedla pour son avis personnelle.
Puis, profitant du léger silence qu'installait sa réponse, il prit une longue gorgé du cidre que venait de lui servir le terreux.

L'elfe se carra dans son fauteuil d'un air pensif et réfléchit un instant à la situation. Puis, comme personne ne parlait, elle donna son avis.

« A vrai dire maître Mjoll, je crois que nous n’avons plus grand-chose à faire dans cette région. L’élan qui nous avais permis de prendre puis de garder la ville d’Enushirgal s’épuise et l’ennemi s’est replié. J’avoue que je trouverait très regrettable que les Orichalque puissent reprendre leur capitale sans affrontement si nous partons mais je n’ai personnellement plus aucune envie de rester ici pour la surveiller. Si la Puretée veut s’assurer un contrôle durable d’Enushirgal, alors je pense qu’il revient à l’élément qui s’en est emparé d’organiser sa défense.
Il me semble avoir entendu dire que les fils de Gerda se devaient d’avoir un certain nombre de villes sous leur contrôle pour permettre le réveil de leur Dragon. Il ne tient qu’à eux de profiter de cette occasion pour garder cette ville sous leur autorité ou de l’abandonner pour se concentrer sur des cités qu’ils estimeraient plus défendables. Les événements sont donc pour le moment en suspend dans la région.

Au contraire, il semble que les choses ne soient pas calmées au nord. Les ennemis qui hier assiégeaient Khuluppu ont aujourd’hui repris Uruk. La forêt de Cèdres et Thrymheim sont ténébreuses et les pyromanes qui mènent une contre offensives vers le cœur d’Eiwhaz ont déjà repris Dammas et Kullab.
Je ne voudrait pas paraître alarmante mais je pense qu’il est temps de nous en retourner vers les terres de nos ancêtre pour les défendre Il nous faut contrer cette déferlante Impure et reprendre un maximum de nos propres cités, il est plus que temps de réunifier notre propre territoire. Ensuite seulement nous pourrons sereinement mener la guerre en territoire Impur. »

Elle s’arrêtât pour constater que le nain et le géant la fixaient d’un air surpris, voir même interloqué. Il lui sembla même que Varacorn dissimulait derrière sa main un sourire en coins.

« Enfin, c’est mon avis puisque vous le sollicitiez» s’excusa-t-elle en baissant les yeux alors qu’elle sentait que ses joues s’empourpraient.

[hrp]non non, c'est bon Mjoll, y a pas de lezard t'en fait pas Wink

[/hrp]